Avis des lecteurs

De Marie Kirchner, de Gréville-Hague (Manche)

Au-delà de son style littéraire, ciselé, descriptif, avec beaucoup d’empathie pour les personnages de ses biographies, Christophe Grandemange réalise de nombreuses recherches inédites pour documenter ses ouvrages. Par exemple, pour illustrer la vie de Henry Gréville, il a retrouvé sa correspondance, ses lieux d’habitation dans différentes villes de France et relu l’ensemble de son œuvre tombée dans l’oubli. Il a ensuite réédité certains de ses ouvrages pour lui rendre hommage. C’est un auteur sincère, passionné par les vies qu’il raconte, et un travailleur infatigable pour exhumer un passé disparu.

D'Olivier Jourdia, de Sarzay (Indre)

Tout d'abord, on pourrait penser que je ne puise être objectif sur tes écrits. Je ne suis point un critique littéraire ; je me permets quand même de donner mon humble avis sur tes écrits. Tout d'abord quel travail phénoménal que  tu fais pour chercher, retrouver des documents oubliés voir inconnus du grand public. Déjà pour toutes ces heures, ces années de recherches, bravo ! De plus, tu as un talent d'écriture "populaire" ; ce que je veux dire, c'est que toutes tes biographies sont écrites - et on le ressent - avec ton âme, ton cœur, ta passion, ce qui nous permet de lire "des histoires" merveilleuses sur tous ces personnages que tu refais vivre grâce à ton travail d’écrivain.

J'ai le plaisir, l'avantage et la chance de suivre certaines de ces recherches, de participer aux relectures, de lire bien évidemment certains de tes ouvrages. Je vais parler ici de la biographie que tu as écrite sur Emile Durand-Gréville. Quelle aventure de se lancer dans cet ouvrage, trouver ce que cet homme admirable a pu faire dans son travail : critique d'art en France et à l'étranger, traducteur de Mr Tourgenief et le soutien physique et moral qu'il a apporté à son épouse, notre chère Madame Henry Gréville. Tu as su nous faire découvrir les recherches et le travail météorologique de cet homme d’exception, nous faire approcher au plus près de leur vie de couple si particulièrement attachante, de nous faire connaitre leurs joies, leurs déceptions, leurs douleurs aussi. Cette biographie est digne des plus grands noms de la littérature française, dont tu fais partie. Voila mon simple avis, mais ne stoppe pas ce travail, cette mission, ne gâche pas ce talent , merci a toi pour ces ouvrages.

De Patrick Le Magueresse, d'Argenton-sur-Creuse (Indre)

Christophe Grandemange est un accompagnateur, un passeur, par ses connaissances et sa passion qu'il nous transmet, il nous invite également à aimer les personnages qu'il décrit. Après avoir fermé l'une de ses biographie, j'ai l'impression d'être devenu un ami de la famille Sand... Les portes sont ouvertes, je parcours Nohant ou les autres lieux, sans plus penser au temps passé. Ils sont là, ranimés sous la plume de Christophe. ... je crois avoir lié une amitié toute particulière avec Gabrielle Sand !

De Mégane Berlande, de Châteauroux (Indre)

"Souvent il comparait ce qu'il appelait son 《autre moi 》à un parebrise. Un caillou fait peu de dégats et l'on peut rouler longtemps ainsi [...]. Jusqu'au jour où un choc plus important fait éclater en morceaux l'écran protecteur."

Embarquement dans cet ultime voyage où les émouvantes confidences de Jonathan nous renvoie à nos propres émotions. Merci à Christophe Grandemange pour ce bon moment que j'ai passé à le lire et j'ai dans l'espoir de pouvoir découvrir au plus vite un autre de ses romans...

Chambre 48.

De Nadine Terminet

Pour ma part, j'ai beaucoup appris sur George Sand et son entourage au travers du livre Maurice Sand et le Château de Nohant qui sont très richement documentés et on y découvre plein d'anecdotes inédites.

De Sylvie Victoire Veys (Belgique)

Le Chateau de Nohant. On a écrit tellement de choses sur George Sand : des pages et des pages qui insistaient sur ses amours célèbres, son costume masculin, ses cigares… Tant de livres qui en voulant la décrire ne faisaient que renforcer une caricature dont il est difficile de l’extraire aujourd’hui. Pour arriver à la réalité la plus intime de George Sand, il existe une porte d’entrée qui n’est pas que métaphorique ! C’est une porte bleue dans une cour intérieure, quelque part en Berry. C’est la porte de son Château de Nohant, cette demeure façonnée à son image, oasis créatif où toute sa vie elle se ressourça loin des impératifs sociaux et des tumultes familiaux et politiques. A Nohant, elle était elle-même, à la fois Aurore et George, mère et amante, écrivain et femme d’affaire qui gère son domaine comme d’autres aujourd’hui leur entreprise. A travers l’histoire des pièces, les photos, les plans, les extraits de Correspondance, c’est une image d’une rare authenticité que Christophe Grandemange nous offre de George Sand. Une George Sand attachante, amusante, parfois dure quand elle licencie un employé, généreuse quand il s’agit de recevoir. Elle a donné une âme à Nohant et Christophe Grandemange nous la restitue à travers ce livre. Grace à ce livre, qui pour une fois ne s’arrête pas au décès de George Sand, nous comprenons comment cette âme a fait pour survivre jusqu'à aujourd’hui, grâce à quels génies tutélaires (Lina, Gabrielle, Aurore), nous pouvons nous aussi pousser cette porte bleue et pénétrer dans l’intimité de George Sand.

 

Solange Sand. L’ange déchu. Tous ceux qui s’intéressent à George Sand connaissent sa fille Solange. Ou croient la connaitre. La petite fille qui la rejoint à Paris quand elle part conquérir la capitale du haut de sa mansarde bleue. L’adolescente jalouse qui testait son pouvoir de séduction sur Chopin et précipita la rupture de sa mère et du compositeur. La femme amoureuse qui s’est jeté dans les bras d’un sculpteur rustre et alcoolique. Son image de mauvais génie de la famille s’est nourrie des personnages de filles mauvaises que George Sand créait dans ses romans, et des innombrables lettres dans lesquelles la romancière se plaint de sa fille. Il fallait le livre de Christophe Grandemange pour rendre justice à Solange. Dans sa biographie, il nous donne à voir les raisons de ce désamour maternel et les tentatives désespérées et maladroites de cette fille qui cherche avant tout à attirer l’amour de sa célèbre mère. Derrière son impétuosité et ses provocations parfois faciles, Solange a passé sa vie à cacher sa détresse et ses souffrances. Ce livre nous la montre humaine et touchante. Amie fidèle, esprit caustique, bon écrivain, Solange retrouve sa complexité et sa réalité sous la plume de Christophe Grandemange. On découvre une femme intéressante, attachante, aventurière qui toute sa vie chercha à s’ancrer dans une filiation qu’on lui refusait. A la lecture de cette biographie, on se surprend à réévaluer ce qu’on pensait savoir et on se dit qu’on aurait tellement aimé la connaitre !

Jeanne Clésinger - Histoire d'une tragédie. On pourrait se demander de prime abord quel est l’interêt de lire une biographie de Jeanne Clesinger, petite-fille de George Sand, décédée à l’âge de 5 ans. La lecture en est pourtant passionnante, et ce à plus d’un titre. Premièrement l’histoire de la petite Jeanne permet de mieux connaître Solange, non pas en tant que ‘fille de’ mais en tant que femme et mère. On vit avec elle chaque étape de sa maternité, chaque espoir de se voir enfin confier la garde de sa fille, chaque déception quand on la lui enlève. On découvre aussi une autre George Sand, à la fois terriblement attachante et humaine quand elle élève et joue avec cette enfant, mais aussi dure et parfois cruelle quand elle se pose en rivale maternelle de Solange, puis quand elle privilégie ses conceptions philosophico-religieuses au détriment du travail de deuil de sa fille. Dans cette biographie, qui pourrait sembler anecdotique, c’est une toute autre vision de la famille Sand que Christophe Grandemange nous offre. C’est aussi un témoignage instructif et glaçant du rôle de la femme dans la société du XIXe siècle. Concrètement, Solange n’a aucun droit sur sa fille. Malgré l’alcoolisme et le déséquilibre de Clesinger, malgré le nom de Sand, malgré la santé de la petite qui se détériore, Solange ne peut rien faire. Elle est pieds et poings liés par la loi, la procédure, l’administration qui, par défaut, tiennent du côté du mari. On sait tous théoriquement quelle était la situation des femmes à cette époque mais à travers cette histoire, Christophe Grandemange nous offre un exemple poignant de leur impuissance permanente et de la somme de courage et de persévérance qu’il leur fallait pour s’émanciper. La vie de Jeanne Clesinger se déroule selon les canons de la tragédie grecque. Tous les éléments sont en place depuis le début, on sait le dénouement inéluctable, mais l’on ne peut s’empêcher de lire, pris dans cette mécanique implacable.

De Michèle Storck-Leiser, de Strasbourg (Bas-Rhin)

Bonjour Christophe, Début 2015, j'ai lu votre ouvrage "Henry Gréville", ouvrage que j'ai adoré, que j'ai lu avec beaucoup de plaisir, je le recommande, ouvrage passionnant et nostalgique. Bien à vous, Michèle ...... "Je vous rajoute une petite citation de Rainer Maria Rilke " Acceptons et jouissons de chaque instant de notre destinée avec sérénité. Elle nous conduira loin, très loin et alors tout et même le plus fabuleux y sera possible."

De Jean-Pierre Couture, de Chimay (Belgique)

Bonsoir Christophe, cela fait plusieurs mois que l'on est amis sur Facebook. Je te savais écrivain et puis je t'ai commandé un livre puis 2 puis 3 et tu m'as fait découvrir la famille Sand que je connaissais seulement de nom - George bien sûr - et j ai pris plaisir à lire ces livres qui m ont passionnés jusqu au bout. Bonne soirée.

De Michaël Pasquer, de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire)

Je m'appelle Marie. Une biographie très émouvante d'une vieille dame qui nous retrace les joies mais surtout les peines de toute une vie au travers des différentes époques du début du 20eme siècle.

De Jean Piet, La Châtre (Indre)

"Chambre 48": Quand l'aventure devient intérieure, le récit n'en demeure pas moins haletant, pas de temps morts, une envie de savoir ce qui va arriver. Lire Christophe Grandemange, c'est plonger avec lui au coeur de l'être humain, dans toute sa complexité, et je ne saurais qu' inviter ceux qui ne le connaisse pas, à découvrir cet auteur talentueux.

"Mes moires de l'âme": Un recueil profond, inspiré par la vie, une vie d'homme, souvent seul à contempler ce monde dans lequel il ne trouve pas si facilement que cela sa place. Doit-on entendre par "moires", les reflets de l'âme, comme ceux de l'étoffe, ou doit-on comprendre que des divinités, "Clotho", "Lachésis", ou Atropos"sont à l'origine d'un destin dont il reste à savoir s'il est contrarié ou apprivoisé, à vous d'en juger en lisant ce magnifique ouvrage.

De David Laizeau, de Coullons (Loiret)

Si vous ne connaissez pas encore Christophe Grandemange, je vous invite à découvrir l'univers de cet écrivain. Je viens de finir son roman "Chambre 48". Un régal ! Bon, en plus il cite quelques lignes de la chanson que j'ai écrite pour le chanteur Christopher Blyten "Mes fantômes "... Et là j'apprends que Christophe Grandemange fait la rentrée littéraire !! Félicitations !! Quel talent. 

De Chantal Gras.

Je m’appelle Marie, non ce n’est pas moi, mais le livre que j’ai lu de Christophe GRANDEMANGE, ce récit d’une vie riche et émouvante. Marie qui se livre et qui nous émeut, Marie pourrait être notre grand-mère, la vôtre et pourquoi pas la sienne ???

Je m’appelle Lina, et non toujours pas moi, mais Lina SAND, cette ange gardien de NOHANT, qui se dévoue, qui se consacre toute sa vie à porter l’oeuvre de George SAND. On partage sa bonté, sa douceur, on l’accompagne tout au long de notre lecture. Quand on referme le livre, une amie s’en va et quelques temps encore on reste avec elle.

Et Gabrielle SAND, cet ange se sérénité, partie trop jeune, la petite fille de George SAND, revient vivre à NOHANT, cet havre de paix qu’elle affectionne tant.

J’ai aussi parcouru le Château de NOHANT, au propre et au figuré, cet endroit ne laisse personne indifférent, nous sommes hors du temps et nous nous laissons guider, et à travers chaque pièce, nous aimerions voire revivre toutes les personnes qui ont donné vie à cette maison.

Le livre MEMOIRE EN IMAGES sur GEORGE SAND : Au fil des pages à travers la collection de cartes postales nous avons un aspect de la vie de la famille et aussi des coutumes berrichonnes.

Mais quittons ces femmes et partons avec Maurice SAND, un  personnage aux multiples talents : peinture, dessins, marionnettes mais que l’on sent très sensible.

Quittons pour l’instant l’univers de George SAND, la région du BERRY, chère à mon coeur car une partie de ma famille maternelle vient de là !!!!!!!!!!!!!!!! une petite racine reliée à George SAND par son demi frère Hippolyte CHATIRON.

J’ai aussi le livre : Solange SAND et le Carnet de Voyages de Gabrielle SAND, mais j’avoue que je n’ai pas encore eu le temps, ou pris le temps de lire, mais connaissant le travail de recherche de Christophe et son talent, je sais que je vais passer de bons moments en leur compagnie.

Le roman de la Chambre 48, je l’ai lu deux fois : pourquoi??? pour me mettre dans la peau des deux personnes Jonathan et Adrien. Ce thème du suicide ne me laisse pas indifférente et on doit en parler,  ces témoignages peuvent ou veulent nous laisser un message et là Christophe a bien su nous amener dans un coin de son cœur.

Mes Moires de l’Ame, on aime ou on aime pas, on apprécie ou on apprécie pas, mais nos blessures sont là, plus ou moins enfouies, mais la seule façon ou du moins celle que l’on pense le mieux pour soi et de les extérioriser et essayer de rebondir et de savoir pourquoi ce mal être qui peut provenir de très loin, on se forge une carapace, elle craquelle tout doucement, mais certaines personnes sont là pour panser nos blessures et surtout nous comprendre. 

Je vais repartir et terminer dans ma région LA HAGUE et bien sûr GREVILLE le berceau de mes ancêtres

Là encore le parcours incroyable de Henry GREVILLE cette femme au destin incroyable et aussi qui vécut des drames en perdant ses deux filles et bien sûr le livre sur son mari Emile DURAND-GREVILLE ce grand érudit qui va consacrer le restant de sa vie à perpétuer la mémoire de sa femme

Donc pour vous dire que tous les livres de Christophe GRANDEMANGE, nous transportent et surtout nous apprenons tellement et le travail réalisé pour retracer  toutes ces histoires de famille, cette généalogie, est basé sur des sources réelles, des consultations d’archives, sur le déchiffrage pas toujours évident des correspondances.

Et surtout la passion est là, il aime ces familles.

Donc Merci Christophe et ta voie est tracée l’ECRITURE.

De Baptiste Peyre, de Carpentras (Vaucluse)

Bonjour M. Grandemange,
Je suis amoureux de Carpentras et votre ouvrage m'a permis d'apprendre beaucoup de choses sur notre ville ! J'y suis né, il y a 23 ans et j'aime la belle Comtadine depuis... 23 ans ! J'aime son histoire, ses monuments, sa vie, ancienne ou récente, mais mon jeune âge fait que j'ai d'innombrables lacunes ! Avec votre livre, j'en ai comblé pas mal ! Cela m'a donné envie d'en apprendre encore et encore sur Carpentras ! Alors depuis quelques temps, je constitue mes archives numériques de Carpentras (vidéos, photos, articles...) et j'achète des livres, magazines, BD sur elle ! J'ai aussi multiplié les balades. Dans la cadre d'une visite des remparts et de la porte d'Orange, j'ai même pu reconnaître dans le propos des guides certaines des informations que vous avez distillé dans votre livre, ce qui m'a immédiatement fait sourire et provoqué l'incompréhension des quelques touristes présents ! Pour info, je suis passé par le centre de loisirs de la Roseraie dans mon enfance et j'ignorais jusqu'à maintenant que l'auteur de ce formidable livre y travaillait. Bref, vous avez fait un abécédaire merveilleux et je vous remercie pour cette passion grandissante pour Carpentras ! Vive vous et vive Carpentras. Bonne continuation dans votre carrière d'écrivain. Et encore mille fois merci !

De Daniele Moutet

"Maurice Sand, un artiste aux multiples talents"...
Votre livre est bien plus qu'une biographie, c'est une porte qui s'ouvre avec générosité et sincérité sur le cœur de la famille tant chérie de George Sand.
Ah! Maurice....Comme on t'aime !
Votre récit est si frais et si vivant que l'on se prend à vous imaginer à leurs côtés, partageant leurs voyages, leurs repas, leurs épreuves et leurs joies.
Vos mots font un bien fou, quel plaisir !
Merci monsieur !
D. Moutet

De Loïc Doury

Chambre 48.

Ton livre est vraiment top, tu a un talent d'écriture, c'est clair, c'est fluide a lire et très touchant, même dans un sujet dramatique. Étrange de lire la mort de quelqu'un qu'on connait, mais très bien écrit. J'ai adoré, sincèrement 
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De Sonia Bernard, de Dhuizon (Loir et Cher)

Solange Sand - L'ange déchu

Je vous invite sincèrement à la lecture de cette biographie écrite par Christophe Grandemange et d'aller sur son site
je l'ai terminée ce dimanche
Solange mérite toute l'attention que Christophe lui a porté dans ce livre, j'avais déjà lu le livre de Michèle Tricot, Solange fille de george Sand et avait donc déjà eu une vue d'ensemble de ce qu'avait été la vie de Solange qui, on le savait, avait grandi sans l'amour de sa mère, la non moins illustre George SAND
mais j'attendais la biographie de Christophe dont je connais le coeur qu il met à ses ouvrages et je savais que je ne serais pas déçue mais au contraire, cette ouvrage est vraiment une très belle réussite
et vraiment on ne peut qu être touchée, bouleversée encore plus fortement par Solange et ne l'en aimer que davantage 
d'ailleurs c'est même lui rendre hommage comme elle le mérite
elle qui tout au long de sa vie n'a pas eu l'amour qu'elle méritait de sa mère notamment et ce, dès sa naissance et cela l'a suivi toute sa vie, mais Solange elle n'a jms cessé d'aimer sa mère, de lui témoigner son amour comme à son frère Maurice d'ailleurs qui sous l'influence de sa mère a aussi rejeté sa soeur
le frère et la soeur ne se sont rapprochés qu'à la fin de leur vie probablement une prise de conscience de Maurice qui se retrouvait seul et surtout plus sous l influence de sa mère
On peut trouver dans cet ouvrage justement des extraits de correspondances entre G. Sand et sa fille et on ne peut que constater comment Solange était traitée parfois on se sent blessée dans l'âme pour elle, bouleversée parfois même en Colère car au vu des amitiés qui ont entourées Solange on sent que c est une très bonne personne qui n'avait pas mérité cette vie, sa vie est très bien retracée ici avec des recherches très précises 
Solange la fille mal aimée disons pas aimée surtout par sa mère 
Maurice, aimé par G. Sand mais mal aimé, trop....
il faut dire aussi que G. Sand avait aussi une relation très conflictuelle avec sa propre mère Sophir Victoire Delaborde et dont la tutelle avait été confiée à sa grand mère Aurore Dupin de Francueil 
On pourrait parler longuement de cet ouvrage qui dénote un fait le rejet d'amour d'une mère pour son enfant un commencement dans la vie qui fait ce qu est l'enfant par la suite, comment il grandit à sa manière cahin cahan, un fait tjs d'actualité dans nos sociétés ou souvent les parents se déchirent les enfants...
et pour la plupart de nous tous on grandit tous avec nos failles de l'enfance.

De Christian Galvan Modenèse, de Divonne-les-Bains (Ain)

Solange Sand - L'ange déchu

Bonjour Christophe. Une larme, la première de l'année 2019, glisse lentement sur ma joue gauche (étonnement, c'est côté cœur) . Je viens de refermer le livre de Solange Sand. La lecture est terminée, terminée avec la mort de cette femme que la vie n'a pas épargné. Malgré le fait qu'elle ait toujours été repoussée par sa mère, elle a su garder cette force et cette volonté de l'aimer. Solange est désormais la femme que j'admirerai le plus. Elle repose près sa fille Jeanne, elle est à présent en paix au côté de l'amour de sa vie. Je tiens à te remercier et te féliciter pour cet ouvrage qui m'a captivée. J'ai relu certains passages plusieurs fois (d'où un temps très long de lecture) et je compte refaire très vite une seconde lecture. Accepte toute mon admiration pour tes talents d'écrivain et toute ma reconnaissance. Un seul mot : merci.

D'Isabelle Ponroy, de Velles (Indre)

A Nohant, chez George Sand

Bonjour Christophe ! J'ai fini hier soir le livre "A Nohant, chez George Sand" que je n'ai pas lâché. C'est un travail monstrueux encore que vous avez fait là, je vais être franche avec vous : j'avais peur de relire le livre de 2010 en édulcoré. Il n'en est rien ! Ce sont bien deux livres distincts et différents. On apprend encore une foule de chose, les domestiques, des photos inédites, les animaux à Nohant. Les fondations des remparts, le plan complet de la maison, du grenier à la cave. Magnifique photo d'Aurore page 314 avec son regard magnétique ... Et puis Maurice, l'éternel Maurice dont le mariage "arrangé" par sa mère et dont Lina dira : "Je l'ai épousé lui parce que je l'aimais Elle." Comment peut-on se sacrifier ... Ce qui explique aussi le délitement du couple qui ne s'est pas séparé mais c'était tout comme... Elle a en fait acquis son indépendance lorsque G. Sand est décédée. Déjà de faire rapatrier Cocoton elle a attendu qu'ils ne soient pas là ni l'un ni l'autre ... Foules de détails que ce livre, où on a l'impression de mieux connaître Aurore, elle m'est apparue plus sympathique, avec ce "attrape" ... D'elle, on peut véritablement dire qu'elle est morte de vieillesse, le corps s'est ralenti tout doucement. Mais de Maurice ? De quoi est-il mort vraiment ? On ne meurt pas de mélancolie. Autre question : page 141 quand G. Sand qui a Nini pendant un certain temps, la petite lui fait des câlins "et on me tutoie dans les moments de tendresse". Mon Dieu est-ce que Nini vouvoyait donc sa grand mère ?? ... Enfin voilà dans ma tête de plus frais ce que j'ai retenu, mais vraiment, très beau livre. Je ne suis pas déçue ! Pour l'instant je fais une pause G. Sand et ai débuté le dernier livre de Patricia Darré. Je vous dirai mon ressenti pour le prochain livre ... qui sera celui de Nini ... A très bientôt Christophe !!!

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